À l'occasion du week-end performance (les 14 & 15 octobre 2017), dans le cadre de Mondes Flottants - 14ème Biennale de Lyon, venez réactiver l'œuvre de Lygia Pape, Divisor, 1968 (de la Collection IAC), dans l'espace public.
Programme :
Samedi 14 octobre 2017 à 16h15
Départ : Rue couverte à la Cité internationale et au Parc de la Tête d’or
Durée : 45 min
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Dimanche 15 octobre 2017 à 15h
Départ : Centre commercial Confluence jusqu’à la Sucrière
Durée : 45min
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Divisor, datée de 1968, est une œuvre emblématique du travail de Lygia Pape.
Entre installation et performance, cette première expérience collective de l’artiste invente un protocole destiné à être réactivé à l’aide de participants. À l’origine, Lygia Pape avait réuni différentes communautés de Rio, et donc d’horizons sociaux variés, pour les placer sous un même drap blanc percé de trous, de trente mètres de large sur trente mètres de long. N’étaient visibles que les têtes des participants. Des classes moyennes aux enfants des favelas, cette foule d’êtres humains, la tête séparée du reste du corps, était unie par un même « vêtement » abolissant toute hiérarchie sociale et distinction de classe. L’action, que l’artiste envisage comme un travail collectif, gai et reproductible même en son absence, propose une métaphore poétique et politique de la notion de « tissu social ».
Programme :
Samedi 14 octobre 2017 à 16h15
Départ : Rue couverte à la Cité internationale et au Parc de la Tête d’or
Durée : 45 min
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Dimanche 15 octobre 2017 à 15h
Départ : Centre commercial Confluence jusqu’à la Sucrière
Durée : 45min
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Divisor, datée de 1968, est une œuvre emblématique du travail de Lygia Pape.
Entre installation et performance, cette première expérience collective de l’artiste invente un protocole destiné à être réactivé à l’aide de participants. À l’origine, Lygia Pape avait réuni différentes communautés de Rio, et donc d’horizons sociaux variés, pour les placer sous un même drap blanc percé de trous, de trente mètres de large sur trente mètres de long. N’étaient visibles que les têtes des participants. Des classes moyennes aux enfants des favelas, cette foule d’êtres humains, la tête séparée du reste du corps, était unie par un même « vêtement » abolissant toute hiérarchie sociale et distinction de classe. L’action, que l’artiste envisage comme un travail collectif, gai et reproductible même en son absence, propose une métaphore poétique et politique de la notion de « tissu social ».