NÉE EN 1988 À RIO DE JANEIRO (BRÉSIL)
VIT ET TRAVAILLE À MONTPELLIER (FRANCE)
L’artiste brésilienne Clarissa Baumann étudie à l’École d’Arts Décoratifs et à l’École d’Arts Visuels de Rio de Janeiro, où elle a obtenu une licence en dessin industriel, puis à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Sa pratique est également marquée par des formations et recherches professionnelles en cirque et en danse contemporaine. Elle a suivi le Master exerce en études chorégraphiques au CCN de Montpellier (2018-2020).
L’artiste reçoit en 2015 le Prix des Fondations de Beaux-Arts, puis en 2016 le prix de l’École des Beaux-Arts de Paris ainsi que le Prix Adagp Révélation des Arts Plastiques, à l’occasion du 61e Salon de Montrouge.
Le travail de Clarissa Baumann a été présenté dans différentes expositions : Les Voyageurs, Palais des Beaux-Arts, Paris, France (2015) ; 61e Salon de Montrouge, Montrouge, France (2016) ; Dessin, Palais de Tokyo, Paris, France (2017) ; Art On Paper, BOZAR, Bruxelles, Belgique (2018) ; Protopoème : Sol, Sono & Urubus, Galerie Dohyang Lee, Paris (2018) ; Les Mains sans sommeil, Forum Hermès,Tokyo, Japon, (2018-19) ; Some of us, an overview on the French Art Scene, Kunstwerk Carlshütte, Büdelsdorf, Allemagne (2019) ; ART FEM II, Women’s Biennial of Art of Macau, Macau, Chine (2020) ; Institut d’art contemporain, Villeurbanne, France (2016, 2020-21, 2022). Se développant par une série d’interventions furtives dans la ville ou dans les espaces d’exposition, les œuvres de Clarissa Baumann questionnent poétiquement les mécanismes d’organisation du quotidien, du corps et de la mémoire. Ses recherches se déploient également sous la forme de collaborations artistiques et d’ateliers partagés en milieu associatif et scolaire. Elle est cofondatrice du collectif montpelliérain cohue - laboratoire de recherche chorégraphique créé en 2020 avec cinq artistes-chorégraphes. Depuis 2015, elle collabore de façon régulière avec le musicien-compositeur Olavo Vianna autour de l’écriture performative et de l’espace sonore.