Prêt des œuvres de Michel François et de Pierre Huyghe
Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes
Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes
Avec les œuvres de : Absalon, Louidgi Beltrame, Michel Blazy, Céleste Boursier Mougenot et Ariane Michel, Louis Cane, Martin Creed, Philippe Decrauzat, Edith Dekyndt, Julien Discrit, Richard Fauguet, Michel François, Aurélien Froment, Dominique Gonzalez-Foerster, Hans Haacke, Raymond Hains, Pierre Huygue, Ange Leccia, Claude Lévèque, Anthony McCall, Adrien Missika, Hans Op de Beeck, Philippe Parreno, Elisa Pône, Hugues Reip, Claude Rutault, Anri Sala, Sarkis, Alain Séchas, Su-Mei Tse, Ann Veronica Janssens.
Après le succès de fréquentation qu'a connu l'exposition What is not visible is not invisible* lors de sa présentation inaugurale à Singapour avec 65 716 visiteurs, l'exposition est réadaptée pour une présentation renouvelée au BACC-Bangkok Art and Culture Center du 15 juin au 26 juillet 2017.
De la lumière aux ténèbres, du rêve au subconscient, de la vision à la sensation, l'exposition est un cheminement dans l'esprit humain et une exploration de ses capacités de vision.
Cette expérience se veut progressive, elle rappelle notamment le processus de la Dream Machine de Bryan Gysin et Ian Sommerville (1958) ; elle prend pour point de départ la capacité de l'art à modifier le regard et à ouvrir les portes de la perception, d'un point de vue aussi bien intellectuel que physique.
« J'ai eu un déchaînement transcendantal de visions colorées aujourd'hui, dans le bus, en allant à Marseille. Nous roulions sur une longue avenue bordée d'arbres et je fermais les yeux dans le soleil couchant quand un flot irrésistible de dessins de couleurs surnaturelles d'une intense luminosité explosa derrière mes paupières, un kaléidoscope multidimensionnel tourbillonnant à travers l'espace. Je fus balayé hors du temps. Je me trouvais dans un monde infini... La vision cessa brusquement quand nous quittâmes les arbres. » (extrait du journal de B.Gysin, 21 décembre 1958).
* Le titre de l'exposition fait référence à l'œuvre éponyme de l'artiste français Julien Discrit (2008, collection du FRAC Lorraine)
L'exposition a été conçue par Platform en dialogue avec les Directeurs des 23 FRAC.
L'exposition inaugurale a été co-organisée avec le Musée National de Singapour.
Après le succès de fréquentation qu'a connu l'exposition What is not visible is not invisible* lors de sa présentation inaugurale à Singapour avec 65 716 visiteurs, l'exposition est réadaptée pour une présentation renouvelée au BACC-Bangkok Art and Culture Center du 15 juin au 26 juillet 2017.
De la lumière aux ténèbres, du rêve au subconscient, de la vision à la sensation, l'exposition est un cheminement dans l'esprit humain et une exploration de ses capacités de vision.
Cette expérience se veut progressive, elle rappelle notamment le processus de la Dream Machine de Bryan Gysin et Ian Sommerville (1958) ; elle prend pour point de départ la capacité de l'art à modifier le regard et à ouvrir les portes de la perception, d'un point de vue aussi bien intellectuel que physique.
« J'ai eu un déchaînement transcendantal de visions colorées aujourd'hui, dans le bus, en allant à Marseille. Nous roulions sur une longue avenue bordée d'arbres et je fermais les yeux dans le soleil couchant quand un flot irrésistible de dessins de couleurs surnaturelles d'une intense luminosité explosa derrière mes paupières, un kaléidoscope multidimensionnel tourbillonnant à travers l'espace. Je fus balayé hors du temps. Je me trouvais dans un monde infini... La vision cessa brusquement quand nous quittâmes les arbres. » (extrait du journal de B.Gysin, 21 décembre 1958).
* Le titre de l'exposition fait référence à l'œuvre éponyme de l'artiste français Julien Discrit (2008, collection du FRAC Lorraine)
L'exposition a été conçue par Platform en dialogue avec les Directeurs des 23 FRAC.
L'exposition inaugurale a été co-organisée avec le Musée National de Singapour.