Prêt de l'œuvre de la Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes :
Latifa ECHAKHCH, Hospitalité, 2006
Latifa ECHAKHCH, Hospitalité, 2006
Intitulée "Les voix des fleuves Crossing the water", la 17e édition de la Biennale de Lyon invite les artistes à évoquer, interroger, poursuivre le sujet des relations qui se nouent et se délient entre les êtres et avec leur environnement. Pour ce projet, nous prenons appui sur la géographie naturelle et humaine du territoire comme sur l’esprit des nouveaux lieux de la Biennale, les Grandes Locos ou encore la Cité Internationale de la Gastronomie. Ces sites, dont le macLYON est le plus lié historiquement à la Biennale, sont traversés par la question des relations et de l’accueil de l’autre. Ils incarnent l’histoire, la diversité, l’invention de pratiques de communauté. Leurs murs, qui portent encore les traces de celles et ceux qui y ont travaillé, habité, vécu, convoquent des rituels de convivialité et des façons d’être et de faire ensemble.
Les artistes font résonner les voix singulières de ces lieux, leurs récits comme leurs caractéristiques sociales. Ces lieux de construction et de réparation, de soin et d’hospitalité, d’attention à l’autre dévoilent autant de destins que de formes de relations, traditionnelles, inventées, espérées.
Si l’altérité est parfois un risque, nous pensons qu’il s’agit d’un risque nécessaire, la chance de la découverte, le sel de la vie. Les fleuves et cours d’eau charrient ces récits d’échanges et de rencontres, de produits rares tel le sel, de conquêtes et de découvertes, des histoires duales, où la relation à l’autre peut prendre des tours et détours variés, de la contestation à la confluence. L’espoir à revendiquer, c’est l’espace du débat et de l’invention de soi parmi et avec les autres.
Les artistes font résonner les voix singulières de ces lieux, leurs récits comme leurs caractéristiques sociales. Ces lieux de construction et de réparation, de soin et d’hospitalité, d’attention à l’autre dévoilent autant de destins que de formes de relations, traditionnelles, inventées, espérées.
Si l’altérité est parfois un risque, nous pensons qu’il s’agit d’un risque nécessaire, la chance de la découverte, le sel de la vie. Les fleuves et cours d’eau charrient ces récits d’échanges et de rencontres, de produits rares tel le sel, de conquêtes et de découvertes, des histoires duales, où la relation à l’autre peut prendre des tours et détours variés, de la contestation à la confluence. L’espoir à revendiquer, c’est l’espace du débat et de l’invention de soi parmi et avec les autres.