Prêts des œuvres de la Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes :
Jean-Michel Alberola, Sans titre - Titre attribué : N° 83-688, 1982 - 1983
Jean-Pierre Giard, Thalia, 1982
Avec des œuvres de Jean-Michel Alberola, Georges Autard, Rémi Blanchard, Jean-Charles Blais, François Boisrond, Philippe Cognée, Robert Combas, Vincent Corpet, Hervé Di Rosa, Philippe Favier, Gérard Gasiorowski, Dominique Gauthier, Jean-Pierre Giard, Patrice Giorda, Philippe Hortala, Denis Laget, Gérard Traquandi, etc.
Les nouvelles démarches picturales qui émergent à la fin des années 1970 et au début des années 1980 se positionnent contre une domination de l’abstraction et d’une idéologie avant-gardiste réductrice : diktat de la rupture, mort du tableau, vision linéaire et progressiste de l’art. De jeunes peintres entendent, dès leur formation aux Beaux-Arts, réinterroger la forme traditionnelle du tableau, la figure, l’illusion de profondeur, en se nourrissant d’une multitude de modèles.
Jean-Michel Alberola, Sans titre - Titre attribué : N° 83-688, 1982 - 1983
Jean-Pierre Giard, Thalia, 1982
Avec des œuvres de Jean-Michel Alberola, Georges Autard, Rémi Blanchard, Jean-Charles Blais, François Boisrond, Philippe Cognée, Robert Combas, Vincent Corpet, Hervé Di Rosa, Philippe Favier, Gérard Gasiorowski, Dominique Gauthier, Jean-Pierre Giard, Patrice Giorda, Philippe Hortala, Denis Laget, Gérard Traquandi, etc.
Les nouvelles démarches picturales qui émergent à la fin des années 1970 et au début des années 1980 se positionnent contre une domination de l’abstraction et d’une idéologie avant-gardiste réductrice : diktat de la rupture, mort du tableau, vision linéaire et progressiste de l’art. De jeunes peintres entendent, dès leur formation aux Beaux-Arts, réinterroger la forme traditionnelle du tableau, la figure, l’illusion de profondeur, en se nourrissant d’une multitude de modèles.
L’exposition Aux sources des années 1980 interroge leur musée imaginaire et en cherche l’écho dans des formes survivant dans la peinture des années 1980 en France, à partir d’un ensemble d’œuvres représentatives d’un dialogue fécond avec la tradition. En confrontant des démarches très diversifiées, elle permet d’appréhender la peinture de cette période dans son ensemble, en faisant éclater les habituels clivages entre Peinture cultivée et Figuration libre.
Envisageant différents rapports au passé, entendus comme moyen de renouvellement de la peinture ou comme véhicule dans des visions du monde singulières, mais jamais comme une fin en soi, les oeuvres présentées tantôt dialoguent avec un modèle précis, tantôt réactivent des sujets traditionnels autour de trois grandes thématiques : individu et société, amour et altérité, nature et sacré.
Envisageant différents rapports au passé, entendus comme moyen de renouvellement de la peinture ou comme véhicule dans des visions du monde singulières, mais jamais comme une fin en soi, les oeuvres présentées tantôt dialoguent avec un modèle précis, tantôt réactivent des sujets traditionnels autour de trois grandes thématiques : individu et société, amour et altérité, nature et sacré.