Prêt de l'œuvre de la Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes :
Étienne Bossut, La Source, janvier 1983
Étienne Bossut, La Source, janvier 1983
« Objets inanimés, avez-vous donc une âme ? ». Alphonse de Lamartine
Pour sa 10e exposition en 2020, la Fondation Villa Datris a choisi d’explorer le recyclage sous toutes ses formes dans la sculpture contemporaine et d’interroger notre relation aux objets.
À notre époque où le développement durable est devenu une priorité absolue, les artistes contemporains s’emparent avec une acuité particulière de cette question de fond.
Ils y trouvent également une riche source d’inspiration pour récréer un monde nouveau.
Délibérément, par conviction ou par choix, les artistes ont recours au déchet comme matériau artistique à part entière, renonçant à l’acquisition de matériaux dit « nobles » pour créer ou composer leurs œuvres.
Ces rebuts, déchets, détritus, objets laissés pour compte et rejetés par le flux de la consommation retrouvent un emploi, une utilité, une identité – véritable métaphore sociale.
Pour sa 10e exposition en 2020, la Fondation Villa Datris a choisi d’explorer le recyclage sous toutes ses formes dans la sculpture contemporaine et d’interroger notre relation aux objets.
À notre époque où le développement durable est devenu une priorité absolue, les artistes contemporains s’emparent avec une acuité particulière de cette question de fond.
Ils y trouvent également une riche source d’inspiration pour récréer un monde nouveau.
Délibérément, par conviction ou par choix, les artistes ont recours au déchet comme matériau artistique à part entière, renonçant à l’acquisition de matériaux dit « nobles » pour créer ou composer leurs œuvres.
Ces rebuts, déchets, détritus, objets laissés pour compte et rejetés par le flux de la consommation retrouvent un emploi, une utilité, une identité – véritable métaphore sociale.