Prêt de l'œuvre de la Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes :
Ann Veronica Janssens, Échantillons-test, Commande publique de la Chapelle Saint-Vincent, Grignan, 2011
Ann Veronica Janssens, Échantillons-test, Commande publique de la Chapelle Saint-Vincent, Grignan, 2011
Georges Rouault, Fernand Léger, Alfred Manessier, Jean Bazaine... Au cours du 20e siècle, de nombreux artistes ont apporté leur contribution à l’art du vitrail.
À l’occasion de Pâques à Fontevraud, l’Abbaye met en lumière un art dont la vitalité est parfois méconnue du grand public.
C’est à Notre-Dame de Paris en 1939 que la première querelle des vitraux éclate avec les partisans du pour ou du contre l’art moderne dans les édifices patrimoniaux et cultuels. Si les débats sont animés, en 1956 à la cathédrale de Metz, sous l’impulsion du service des Monuments historiques, le peintre Jacques Villon conçoit ses premiers vitraux, Chagall suivra. D’autres comme Jacques Le Chevallier et Jean Bazaine posent, sous l’autorité d’André Malraux, au milieu des années 1960, des vitraux abstraits à Paris, le premier à Notre-Dame, le second, à l’église Saint-Séverin.
L’exposition Vitraux d’artistes retrace à travers études préparatoires, maquettes, panneaux d’essais et reproductions d’atelier, l’histoire des grandes commandes publiques dans des lieux aussi prestigieux que les cathédrales de Metz, Nevers, Rodez, Digne-les-Bains ou encore Tours mais aussi dans des églises plus modestes comme l’église d’Audincourt, la chapelle des Mineurs de Faymoreau, celle de Montferrand-le-Château, etc.
L’exposition nous plonge dans le processus créatif des artistes accompagnés à chaque étape par les maîtres verriers.
Figuratifs, abstraits, minimalistes, les artistes inventent, avec ou sans plombs, un nouveau répertoire créatif du vitrail qui fait désormais du patrimoine national.
À l’occasion de Pâques à Fontevraud, l’Abbaye met en lumière un art dont la vitalité est parfois méconnue du grand public.
C’est à Notre-Dame de Paris en 1939 que la première querelle des vitraux éclate avec les partisans du pour ou du contre l’art moderne dans les édifices patrimoniaux et cultuels. Si les débats sont animés, en 1956 à la cathédrale de Metz, sous l’impulsion du service des Monuments historiques, le peintre Jacques Villon conçoit ses premiers vitraux, Chagall suivra. D’autres comme Jacques Le Chevallier et Jean Bazaine posent, sous l’autorité d’André Malraux, au milieu des années 1960, des vitraux abstraits à Paris, le premier à Notre-Dame, le second, à l’église Saint-Séverin.
L’exposition Vitraux d’artistes retrace à travers études préparatoires, maquettes, panneaux d’essais et reproductions d’atelier, l’histoire des grandes commandes publiques dans des lieux aussi prestigieux que les cathédrales de Metz, Nevers, Rodez, Digne-les-Bains ou encore Tours mais aussi dans des églises plus modestes comme l’église d’Audincourt, la chapelle des Mineurs de Faymoreau, celle de Montferrand-le-Château, etc.
L’exposition nous plonge dans le processus créatif des artistes accompagnés à chaque étape par les maîtres verriers.
Figuratifs, abstraits, minimalistes, les artistes inventent, avec ou sans plombs, un nouveau répertoire créatif du vitrail qui fait désormais du patrimoine national.