Dans le cadre de la douzième édition de l'UE « Pratiques curatoriales » menée par les équipes de l'IAC Villeurbanne et l'ENS de Lyon (Stéphanie Fragnon et David Gauthier).
Crier, souffrir, détourner les yeux, être en proie à des réflexes spontanés qui nous dépassent… Voilà autant de réactions dont nous pouvons tous faire l’expérience lorsque nous sommes confrontés à une violence qui nous saisit. Nous rendant impuissants, la violence détruit bien souvent notre capacité d’agir et semble nous aliéner.
Que faire face à cette violence que l’on identifie - notamment celle qui touche à la guerre, aux enjeux ethniques et de genre ? Comment réagir face à celle qui s’installe confusément en nous, sans que l’on puisse en déceler les contours ?
Dessiner une voie dans ce « nulle part » instauré par la violence n’est pas simple. En quittant le joug du subi, en empruntant des chemins de traverse et en agissant, en nous mettant en marche, nous pouvons transformer cette violence qui nous annihile et parvenir à un autre type de ré—action.
Parce qu’il n’y a pas une seule réaction juste à la violence, chaque visiteur est invité à cheminer dans l’exposition pour explorer les attitudes qui résonnent le mieux avec sa propre expérience. Selon ses sensibilités et les échos que les œuvres provoqueront en lui, il pourra questionner l’évidence et la confusion de la violence qui s’orchestrent en lui.
Que faire face à cette violence que l’on identifie - notamment celle qui touche à la guerre, aux enjeux ethniques et de genre ? Comment réagir face à celle qui s’installe confusément en nous, sans que l’on puisse en déceler les contours ?
Dessiner une voie dans ce « nulle part » instauré par la violence n’est pas simple. En quittant le joug du subi, en empruntant des chemins de traverse et en agissant, en nous mettant en marche, nous pouvons transformer cette violence qui nous annihile et parvenir à un autre type de ré—action.
Parce qu’il n’y a pas une seule réaction juste à la violence, chaque visiteur est invité à cheminer dans l’exposition pour explorer les attitudes qui résonnent le mieux avec sa propre expérience. Selon ses sensibilités et les échos que les œuvres provoqueront en lui, il pourra questionner l’évidence et la confusion de la violence qui s’orchestrent en lui.