À la suite de la fusion des régions Rhône-Alpes et Auvergne en janvier 2016, l’IAC, Institut d’Art Contemporain de Villeurbanne et le Frac Auvergne entament un partenariat afin de croiser leurs compétences et la richesse de leurs collections sur l’ensemble du territoire de la nouvelle grande région Auvergne - Rhône-Alpes.
Conçue à partir d’une sélection d’œuvres issues de la collection du Frac Auvergne, l’exposition Paysages cosmomorphes constitue la première étape de cette collaboration.
En octobre 2017, ce sera au tour du Frac Auvergne de réaliser une exposition à partir d’œuvres de la collection de l’IAC.
Composée d’un ensemble de propositions graphiques, picturales, photographiques et filmiques, Paysages cosmomorphes propose de reconsidérer notre regard sur l’environnement et la place de l’humain et du non-humain dans celui-ci.
Reliées par le dépassement du mode descriptif ou figuratif au profit d’une retranscription intuitive de l’expérience du monde, ces œuvres s’articulent à partir d’une organicité de la matière. Ainsi L’art de la fugue de Judith Reigl ou encore Floreal VII de Silvia Bächli, selon un vocabulaire épuré et une temporalité lisible, renvoient aux processus de formation du vivant. Socle commun à ce qui nous unit aux formes d’êtres disséminées dans l’univers, cette dynamique évolutive traverse l’ensemble des œuvres selon des appropriations singulières.
En résonance avec le nouveau cycle du Laboratoire espace cerveau de l’IAC amorcé à partir de la Station (1)0, Vers un monde cosmomorphe, il s’agit ainsi de rendre visibles, non plus des représentations mais des modalités d’approches et de pratiques à partir desquelles un autre regard sur le monde serait possible, non plus anthropomorphe mais «cosmomorphe».
En octobre 2017, ce sera au tour du Frac Auvergne de réaliser une exposition à partir d’œuvres de la collection de l’IAC.
Composée d’un ensemble de propositions graphiques, picturales, photographiques et filmiques, Paysages cosmomorphes propose de reconsidérer notre regard sur l’environnement et la place de l’humain et du non-humain dans celui-ci.
Reliées par le dépassement du mode descriptif ou figuratif au profit d’une retranscription intuitive de l’expérience du monde, ces œuvres s’articulent à partir d’une organicité de la matière. Ainsi L’art de la fugue de Judith Reigl ou encore Floreal VII de Silvia Bächli, selon un vocabulaire épuré et une temporalité lisible, renvoient aux processus de formation du vivant. Socle commun à ce qui nous unit aux formes d’êtres disséminées dans l’univers, cette dynamique évolutive traverse l’ensemble des œuvres selon des appropriations singulières.
En résonance avec le nouveau cycle du Laboratoire espace cerveau de l’IAC amorcé à partir de la Station (1)0, Vers un monde cosmomorphe, il s’agit ainsi de rendre visibles, non plus des représentations mais des modalités d’approches et de pratiques à partir desquelles un autre regard sur le monde serait possible, non plus anthropomorphe mais «cosmomorphe».