Le musée propose un nouvel accrochage de sa section moderne et contemporaine axé sur la scène artistique lyonnaise au XXe siècle, de Pierre Combet-Descombes jusqu’à la génération qui émerge dans les années 1980 : Stéphane Braconnier, Christian Lhopital, Marc Desgrandchamps, Patrice Giorda...
Appuyée sur le fonds même du musée, complétée par des emprunts à d’autres collections publiques et à des collections particulières, cette présentation souhaite mettre en évidence quelques figures et quelques moments-clés de cette période à Lyon, et permet aussi de s’interroger sur la singularité de la scène artistique lyonnaise.
Appuyée sur le fonds même du musée, complétée par des emprunts à d’autres collections publiques et à des collections particulières, cette présentation souhaite mettre en évidence quelques figures et quelques moments-clés de cette période à Lyon, et permet aussi de s’interroger sur la singularité de la scène artistique lyonnaise.
L'accrochage selon Patrice Beghain
"Alors que les principales œuvres de nos collections d’art moderne sont exposées pendant plusieurs mois au Mexique, les salles qui leur sont d’ordinaire dévolues proposent un accrochage consacré à la scène artistique lyonnaise au XXe siècle.
Cette initiative s’inscrit dans la continuité des expositions qui, notamment depuis une dizaine d‘années, ont été consacrées à des artistes, à des groupes ou à des personnalités qui, tout au long du siècle dernier, ont marqué la vie artistique lyonnaise.
Cette présentation, qui ne saurait prétendre à l’exhaustivité, s’appuie d’abord sur le fonds du musée, dont le contenu témoigne de la façon dont les responsables successifs des collections publiques lyonnaises ont, avec des fortunes diverses, appréhendé la scène artistique locale et du nombre et de la qualité des dons qui ont permis de les développer."
L’accrochage est complété par des emprunts à d’autres institutions, notamment :
- le Musée municipal Paul-Dini de Villefranche-sur-Saône,
- le Musée d’art contemporain de Lyon
- et la collection du FRAC Rhône-Alpes gérée, à Villeurbanne, par l’Institut d’art contemporain.
Elle est aussi enrichie de prêts significatifs de collectionneurs particuliers, qui témoignent du rôle important que ceux-ci ont joué dans l’appréciation et la transmission des œuvres des artistes lyonnais du XXe siècle.
Tel qu’il se présente, dans la diversité des parcours et la variété des expressions, cet accrochage vise à rendre compte à la fois de la richesse et de la singularité de la création artistique à Lyon au cours du XXe siècle et des relations qu’elle entretient avec le mouvement général des arts.
"Alors que les principales œuvres de nos collections d’art moderne sont exposées pendant plusieurs mois au Mexique, les salles qui leur sont d’ordinaire dévolues proposent un accrochage consacré à la scène artistique lyonnaise au XXe siècle.
Cette initiative s’inscrit dans la continuité des expositions qui, notamment depuis une dizaine d‘années, ont été consacrées à des artistes, à des groupes ou à des personnalités qui, tout au long du siècle dernier, ont marqué la vie artistique lyonnaise.
Cette présentation, qui ne saurait prétendre à l’exhaustivité, s’appuie d’abord sur le fonds du musée, dont le contenu témoigne de la façon dont les responsables successifs des collections publiques lyonnaises ont, avec des fortunes diverses, appréhendé la scène artistique locale et du nombre et de la qualité des dons qui ont permis de les développer."
L’accrochage est complété par des emprunts à d’autres institutions, notamment :
- le Musée municipal Paul-Dini de Villefranche-sur-Saône,
- le Musée d’art contemporain de Lyon
- et la collection du FRAC Rhône-Alpes gérée, à Villeurbanne, par l’Institut d’art contemporain.
Elle est aussi enrichie de prêts significatifs de collectionneurs particuliers, qui témoignent du rôle important que ceux-ci ont joué dans l’appréciation et la transmission des œuvres des artistes lyonnais du XXe siècle.
Tel qu’il se présente, dans la diversité des parcours et la variété des expressions, cet accrochage vise à rendre compte à la fois de la richesse et de la singularité de la création artistique à Lyon au cours du XXe siècle et des relations qu’elle entretient avec le mouvement général des arts.